Montréal et sa ville souterraine Accueil / Contenus / Capsules informations Ulysse / Canada / Escale à Montréal / Montréal et sa ville souterraine Extrait du guide : Escale à Montréal Papier (livre entier) 17,95 $ Ce guide est l’outil idéal pour tirer le maximum d’un séjour dans la métropole québécoise. Voir la suite La ville souterraine L’inauguration de Place Ville Marie, en 1962, avec sa galerie marchande au sous-sol, marque le point de départ de ce que l’on appelle aujourd’hui les galeries intérieures ou le Montréal souterrain. La construction du métro, qui débute la même année, accélère le développement de cette « cité sous la cité ». Rapidement, la plupart des commerces, des immeubles de bureaux et quelques hôtels du centre-ville sont stratégiquement reliés au réseau piétonnier souterrain (le RÉSO) et, par extension, au métro. À chaque station de métro, des plans du RÉSO affichés aux murs permettent de se diriger dans ce dédale de couloirs et de galeries.Aujourd’hui, les galeries intérieures sont les plus étendues au monde, avec un réseau piétonnier de plus de 30 km. Très appréciées les jours de mauvais temps, elles donnent accès par des tunnels, des atriums et des places intérieures à plus de 2 000 boutiques et restaurants, à des cinémas, des immeubles résidentiels, des bureaux, des hôtels, des gares… Voici les zones principales : Autour de la station Berri-UQAM, accès aux bâtiments de l’Université du Québec à Montréal, à Place Dupuis, à la Grande Bibliothèque et à la Gare d’autocars de Montréal. Entre les stations Place-des-Arts et Place-d’Armes, formée de la Place des Arts, du Musée d’art contemporain, des complexes Desjardins et Guy-Favreau, ainsi que du Palais des congrès. La station Square-Victoria–OACI, le centre des affaires. La plus fréquentée et la plus importante, autour des stations McGill, Peel et Bonaventure, englobant la Gare centrale ainsi que des centres commerciaux comme La Baie et le Centre Eaton. D'autres articles qui pourraient vous intéresser : LA PETITE VENISE L’HÔTEL-DIEU DEMONTRÉAL : UN PEU D’HISTOIRE LA SAPE