Geronimo Accueil / Contenus / Capsules informations Ulysse / États-Unis / Fabuleux parcs du Sud-Ouest américain / Geronimo Death Valley ©Dreamstime.com/Peter.wey, Extrait du guide : Fabuleux parcs du Sud-Ouest américain Papier (livre entier) 34,95 $ Fabuleux parcs du Sud-Ouest américain vous propose une véritable odyssée visuelle à travers les parcs de la Californie, de l’Arizona, du Nouveau-Mexique, du Colorado, de l’Utah et du Nevada, contrées aux paysages spectaculaires de forêts imposantes, d’étendues désertiques superbes, de profonds canyons, de côtes découpées et de sommets vertigineux. Voir la suite Geronimo « Je suis né dans les prairies où le vent soufflait librement et où rien n’obstruait la lumière du soleil. Je suis né en un lieu dépourvu de toute enceinte close. » – Geronimo Geronimo, dont le nom dérive de Goyathlay (mot d’origine apache signifiant « celui qui bâille »), est né en 1829 dans l’ouest du Nouveau-Mexique, qui se trouvait à l’époque en territoire mexicain. En 1858, des soldats mexicains tuent sa mère, son épouse et ses enfants, et Geronimo jure de s’en prendre à quiconque osera s’opposer à l’exécution de sa vengeance. Avec des Apaches Chiricahuas, il participe à de nombreux raids contre les Mexicains et se porte à la défense de son peuple contre les forces armées des États-Unis qui, vers 1875, ordonnent la déportation de tous les Apaches vers les terres arides et stériles de la réserve de San Carlos. Geronimo engage alors des centaines d’Apaches dans une guerre contre les troupes américaines. Capturé à deux reprises, il réussit à s’échapper. En 1885, la petite bande de Geronimo se voit poursuivie par au moins 5 000 soldats américains, 3 000 soldats mexicains et 500 éclaireurs autochtones, auxquels ils parviennent à échapper pendant cinq mois. Geronimo se rend finalement au général Nelson Miles en 1886. Un des juges qui a présidé à son procès aurait déclaré : « Il n’existe sans doute, dans l’histoire, les traditions ou les mythes de l’humanité, aucun autre exemple de résistance aussi prolongée devant une telle force d’opposition. » Geronimo a dicté son autobiographie, Geronimo: His Own Story, à S.S. Barrett, tout juste avant sa mort, à Fort Sill, Oklahoma, le 17 février 1909. D'autres articles qui pourraient vous intéresser : L’ART DE VIVRE DANS LE SUD-OUEST AMÉRICAIN L’ARCHITECTURE D’ADOBE JOHN MUIR : PIONNIER DE L’ÉCOLOGIE MODERNE