Kamouraska et les aboiteaux Accueil / Contenus / Capsules informations Ulysse / Canada / Le Saint-Laurent - guide de découverte / Kamouraska et les aboiteaux Plage sur le fleuve Saint-Laurent à Kamouraska © iStock / ablokhin Extrait du guide : Le Saint-Laurent - guide de découverte En solde Papier (livre entier) 24,95 $ 34,95 $ Le Saint-Laurent – Guide de découverte vous fera voyager dès les premières pages au fil du magnifique fleuve Saint-Laurent, depuis le lac Saint-François, en amont de Montréal, jusqu’à son immense golfe à l’extrême est du Canada, en passant par les nombreuses îles qui le parsèment, les régions, les villes et les villages du Québec qui le bordent.À la fois guide pratique et beau livre inspirant, ce guide est d’abord un outil pratique pour se réapproprier le Saint-Laurent grâce à une multitude de suggestions d’activités nautiques et écotouristiques : croisières d’interprétation, kayak de mer, randonnée pédestre ou vélo en bordure du Saint-Laurent, parcours d’aventure, plongée sous-marine… Il renferme de plus des propositions de bonnes adresses, lieux d’hébergement et bonnes tables, pour mieux profiter de l’art de vivre qui anime les villages et les villes de son littoral.Le Saint-Laurent – Guide de découverte présente aussi de nombreux textes sur des sujets pratiques et environnementaux. Voir la suite Kamouraska et les aboiteaux Afin de permettre la culture des terres le long du littoral sans avoir à subir l’effet des marées, les habitants de Kamouraska ont construit des aboiteaux, un système ingénieux qui leur a permis d’agrandir leurs superficies arables aux dépens de la mer. Ce système consiste en une longue digue accompagnée d’un canal du côté des terres afin que l’eau des champs environnants puisse s’y jeter. À marée basse, l’eau s’écoule jusqu’au fleuve en empruntant un couloir sous la digue. Lorsque la marée monte, les aboiteaux affrontent le fleuve Saint-Laurent. La pression de l’eau provoque alors la fermeture des vannes qui sont alors presque submergées. La marée monte ainsi le long de la digue sans jamais atteindre les terres agricoles. Voilà la dure tâche des aboiteaux! D'autres articles qui pourraient vous intéresser : LA FIÈVRE DE L’ORNOIR : UNE OMBRE SUR LE GOLFE DU SAINT-LAURENT