Le vélo au Québec et les animaux sauvages

Comment réagir face aux animaux sauvages

Le vélo étant un formidable outil pour aller à la découverte des animaux dans leur milieu naturel, la Gaspésie ravira les amateurs d’observation de la faune, avec ses grandes populations d’ours noirs, d’orignaux, de cerfs de Virginie et de caribous. Si ces rencontres privilégiées peuvent s’avérer fascinantes, il importe de toujours respecter les règles de sécurité de base : rester éloigné de tous les cervidés et ursidés qui peuvent devenir très dangereux s’ils chargent, ne pas nourrir les animaux sauvages, manger et se brosser les dents loin de sa tente, suspendre sa sacoche de nourriture dans un arbre à au moins 5 m de son campement. Il peut aussi être judicieux de se munir d’un vaporisateur de gaz poivré en cas de mauvaise rencontre, mais apprenez à vous en servir avant de partir. À vélo, il faut aussi se méfier des plus petits animaux, comme les écureuils et les ratons laveurs qui peuvent grignoter ou même voler nos précieuses sacoches.