Les Mi'kmacs Accueil / Contenus / Capsules informations Ulysse / Canada / Explorez la Gaspésie et le Bas-Saint-Laurent / Les Mi'kmacs Extrait du guide : Explorez la Gaspésie et le Bas-Saint-Laurent Papier (livre entier) 18,95 $ Voilà l’outil idéal pour tirer le maximum d’un séjour en Gaspésie et dans le Bas-Saint-Laurent, aussi agréable à consulter qu’ultra-pratique grâce à son format de poche et sa structure facile à comprendre en un clin d’œil.La section « Le meilleur de la Gaspésie et du Bas-Saint-Laurent » propose des listes thématiques sur ce que la destination a de mieux à offrir selon ses envies, tout en ciblant les incontournablesLe chapitre « Découvrir la Gaspésie et le Bas-Saint-Laurent » dévoile ensuite une série d’itinéraires clés en main pour ne rien manquer des villes et villages de la région : le Bas-Saint-Laurent entre mer et montagnes; le Témiscouata, région de lacs et de collines boisées prisée par les amateurs de plein air; la Haute-Gaspésie, où s’étend le parc national de la Gaspésie; la pointe de la Gaspésie, réputée pour son célèbre rocher Percé, le magnifique parc national Forillon et les villes de Gaspé et de Percé; la baie des Chaleurs, avec ses plages de sable, et la vallée de la Matapédia, parsemée d’irrésistibles petits villages, de lacs et de rivières. Voir la suite Les Micmacs Les Mi’kmaq, dont la population s’élève aujourd’hui à près de 6 000 personnes au Québec, se sont sédentarisés dans la région de la Gaspésie, formant les villages de Restigouche (Listuguj), de Gespeg et de Gesgapegiag, ou résidant, avec les non-Autochtones, à Gaspé et dans ses alentours. Sans doute la toute première nation amérindienne à avoir eu des contacts avec les Européens, les Mi’gmaq habitaient alors les côtes de la Gaspésie et des provinces maritimes. Reconnus comme d’excellents marins, ces « Indiens de la mer » établirent aussi des campements, permanents ou non, sur plusieurs des îles du golfe du Saint-Laurent. Avec le développement économique de la région, plusieurs Mi’gmaq sont devenus, depuis le XIXe siècle, bûcherons ou ouvriers. Bon nombre d’habitants de Restigouche (Listuguj), de Gespeg et de Gesgapegiag parlent toujours le micmac, que l’on enseigne d’ailleurs maintenant dans les écoles des villages.